Aout 2006 - Mars 2007 : "The rust box" quatrième et - enfin - dernière étape

ça y est, nous y voilà, l'avant dernière ligne droite : la 1602 est en cours de finitions diverses, ça se joue dans les détails maintenant.
Après plusieurs soufflages et dégraissages, les ouvrants sont apprêtés puis dégrainés avant que je ne peigne les intérieurs.

Couleur : Atlantik blau, couleur référencée au nuancier BMW entre 1968 et 1974. La couleur d'origine de ma 1602 sous la peinture bleu/violet métalissé très moche.

Et c'est parti pour la mixture :

Voici l'intérieur des ouvrants recouvert d'un brillant direct en deux couches.

Vient ensuite le tour de la caisse, même traitement : soufflage à l'air comprimé à plusieurs reprises puis dégraissages afin d'obtenir une surface la plus propre possible.
L'apprêt extérieur sera réalisé en une couche, l'apprêt du compartiment moteur et du coffre en mouillé sur mouillé. Maëlig m'a bien aidé à ce niveau car je n'ai pas l'expérience en peinture.

Et voici la 1602 une fois sortie de cabine à prendre le frais :

Appréciez la taille minimale des montants de toit ! aussi dangeureux en cas d'accident qu'agréable en luminosité !

Les planchers ont également été apprêtés.

Malheureusement, nous avons récuperé trop de grains de poussière lors de l'étape en mouillé sur mouillé, ni moi ni Maëlig ne sommes satisfait du résultat, alors on reponce et on repeint ! Les entées de portes sont également peintes par la même occasion.

Jusqu'aux boulons neufs de fixations de capot et de malle arrière.

Après une longue séance de ponçage, l'auto est enfin prête pour l'application finale, là encore deux couches de brillant direct.

Dernieère séance de soufflage à l'air comprimé dehors en compagnie de ma 2002 du quotidien sous un ciel menaçant.
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Si BMW y avait songé, la version 'x4 était tout à fait réalisable, la preuve en image avec la 1602...

Cette fois c'est pour de bon, dernière ligne droite pour l'auto et dernière ligne droite pour nous également à 1 semaine et demie de l'examen final. Serein est le maitre mot, enfin pas tout le temps... !

N'ayant ni l'expérience ni le coup de main de Maëlig, c'est ce dernier qui m'a peint la voiture, je l'en remercie encore ! Il a réalisé un très bon travail ! Les seuls défauts me sont imputables : trop de poussières sur le capot, le toit et la malle arrière. Les erreurs se paient cash en peinture. C'est notre formateur, Willy, qui a repeint le capot, le toit et la malle.

Et une fois le travail terminé, je suis sublimé devant un tel résultat ! vraiment !

Après avoir laissé l'auto plusieurs jours sans l'approcher ni la toucher afin d'éviter de marquer la peinture encore très tendre, je l'ai sorti dehors en compagnie de ma désormais connue 2002 blanche.

Quel beau résultat ! ça vallait bien ses 8 mois discontinus de travaux !
Il y a certainement de petites erreurs ci et là mais pour une première restauration, je ne pense pas que l'on ai à avoir honte de notre travail.

Un grand merci à :
- Yohann, le compagnon des bons et moins bons moments ! Pour le travail effectué (si ça rouille à droite...gare ! ),
- Maëlig, pour ses conseils et son coup de pistolet,
- Patrick, pour son aide précieuse à la préparation peinture,
- et enfin Willy et Gilles, pour la qualité de l'enseignement et le coup de main de dernière minute sur la 1602.

Quelques jours plus tard, je ramenais chez moi la 1602 sur plateau, une semaine plus tard j'obtenias le diplome de carrossier réparateur ainsi que Yohann, Maëlig, Patrick et quelques autres.

Commence maintenant le plus long sinon le plus dur malgré ce qu'il n'y parait : le remontage.

La suite de la lecture en page suivante (en cours de rédaction, sachez que le remontage progresse, il reste encore le train avant à refaire et le moteur à ouvrir en cet hiver 2010/11)

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